La mort est si souvent représentée
comme un squelette avec des mains trop grandes et souriant
avec les dents dures en fer comme un râteau.

Je devais être si vieille et tellement surpris
pour comprendre que c'est précisément la vie
que dépouillé de la tentation,
quand on est passé assez longtemps et assez loin
à chaque pas profondément motivé
dans les sables mouvants d'une vraie existence,
ose se présenter devant moi.

Je souris en retour, on dirait une femme,
qui est tellement connecté avec son mari,
qu'elle ne s'habille plus pour lui
et une confiance triomphale,
qu'il doit l'aimer.

Maintenant, je sais aussi pourquoi
j'ai toujours trouvé quelque chose de joyeux
dans cette forme et cette bouche chauve et vergogne.
La grue des côtes, où le cœur était une fois suspendu et chantait.

Oiseau de lumière pris dans les pays chauds.
De tout ce qui a séduit à la vie,
rien n'est épargné que cette transparence.

Pas de chant, pas de soin, pas d'amour, pas de feu, pas de lumière.

Seulement ce visage anonyme, d'acier et souriant
et cette cage et ces vastes mains dures.

Afterthought sotto voce.

Peut-être que je t'ai aimé jusqu'à tes os,
une vie inhumaine, sourde et souriante.
Mais il n'est pas passé par ces os.

Un instant je dois reprendre mon souffle.
Plus tard, je chanterai pour vous,
combien de fois, avec quelle douceur tes doigts m'ont attrapé.